En Novembre 1961, le mouvement américain, Women’s Lib, prend de plus en plus d’ampleur. Ce mouvement a pour objectif l’égalité des femmes, mais aussi des omégas. Ceux-ci ont un statut social instable, ils se trouvent entre la position des femmes et celles des noires. Ce qui rend les choses maladroites pour eux. En gros, si on veut le dire de manière vulgaire « ce sont des noires qui ont le droit d’engendrer des enfants blancs ». Le rôle des omégas se résume à plaire à leur alpha, tenir leur maison propre et d’avoir autant d’enfants que possible. Ils peuvent aller voter, comme une femme, mais ils doivent demander la permission de sortir de la maison. A la tête du mouvement des omégas, se trouve une femme au caractère bien trempé, Hélène Parker, une oméga de bonne famille, qui refuse de rentrer dans le moule imposé par une société patriarcale, et dominé par les alpha.

Cette dernière, grâce aux soutiens de sa famille et de son mari, a réussi à devenir la mairesse de la Nouvelle-Orléans, dans le but d’apporter une pointe de modernité dans les idées traditionnelles et conservatrices de cette ville, qui mènent la vie dure aux idées novatrice. Le chemin de l’acceptation est long et parsemé d’embûches, surtout qu’il y a énormément des conflits frontaliers, de guerres (Viêt Nam, Algérie, etc….). Alors l’intégration des Omégas et des Parias est une préoccupation secondaires, malgré les efforts de chacun. C’est pourquoi, chacun doit mener son destin comme il le souhaite, qu’il soit un conservateur du bayou, un fonctionnaire Oméga, ou un Paria en quête d’identité.